Les pois d’hiver ont mieux encaissé les à-coups climatiques que les pois de printemps, plus touchés par la sécheresse de mars-avril. Les résultats restent pourtant inégaux, avec des rendements entre 45‐60 quintaux dans les sols profonds du Grand-Est et des Hauts‐de‐France. Ils tombent à un niveau plus bas – entre 25 à 45 quintaux – dans les sols