Lors de la manifestation du 8 février, la CGB a présenté une petite pièce de théâtre intitulée « Le procès de Miss Better ». Écrite par la CGB, les acteurs et le narrateur (Bruno Cardot, un betteravier administrateur de la CGB très présent sur Twitter), cette mise en scène avait pour but de rejouer la décision de la Cour de justice de l’Union Européenne sur l’interdiction des néonicotinoïdes utilisés en enrobage de semence de betterave, de façon légère et humoristique. Après le réquisitoire du procureur général, joué par Guillaume Wullens, président de la CGB Nord-Pas-de-Calais, un avocat, incarné par Alexis Hache, président de la CGB Oise, a prononcé une brillante plaidoirie. Mais, sans surprise, Miss Better a été condamnée « à la jaunisse nanisante pour les années à venir, faute de solutions efficaces ». Une décision décrétée par Véronique Poncet, assistante du président et du directeur général de la CGB, dans le rôle de la juge de la CJUE.
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