Cependant, elle alerte sur les confusions introduites dans la reprise médiatique de ce rapport. Elle note entre autres une confusion entre l’ensemble des différents ingrédients sucrants (les sucres, les édulcorants etc.) et le saccharose (le sucre), qui ont amené certains médias à faire dire à l’étude que le saccharose était trop présent dans notre alimentation alors même que le rapport de l’Anses n’aborde ni les quantités ni la consommation.
« Nous constatons depuis la parution de l’étude beaucoup d’attaques qui ciblent de manière indifférenciée le sucre, comme s’il était forcément majoritaire ou en excès dès lors qu’il est présent », déplore Philippe Reiser, le directeur de Cultures Sucre.