Moins d’un mois après l’interdiction totale des néonicotinoïdes en France, c’est au tour du S-métolachlore (Smoc) de monter sur l’échafaud. La raison de sa condamnation : les concentrations des eaux souterraines estimées de trois molécules issues de sa dégradation, ont été jugées « inacceptables » par l’Anses, du fait du dépassement de la norme européenne de 0,1 µg/litre (limite de qualité). La CGB, l’AGPB, l’AGPM, la FOP et l’UNPT rappellent que, comme le précise l’agence française dans un rapport de 2021, « ces
