Si les cours du gaz se maintiennent au niveau actuel, les factures de gaz pour les industries sucrières risquent de devenir salées lors de la prochaine campagne. Le prix de l’énergie est en effet le premier poste de coût des sites industriels, si l’on excepte les achats de betteraves aux producteurs. Le gouvernement a bien prévu des aides pour les entreprises dans le cadre de son plan de résilience,
